Plus Sanglant, Plus Effrayant : Smile 2 Dépasse Toutes les Attentes !

Ce lundi, nous avons eu le privilège d’assister à l’avant-première de Smile 2, organisée par Paramount Pictures France. Ce nouveau volet de la franchise d’horreur, désormais en salle, promet une expérience intense et pleine de frissons. À travers une intrigue qui saura sans aucun doute vous tenir en haleine, le film multiplie les moments de tension et les célèbres « jumpscares » qui ont fait le succès de son prédécesseur. Après avoir été séduits par le premier opus, nous étions impatients de découvrir cette nouvelle histoire, et voici notre avis sur ce second chapitre qui s’annonce tout aussi captivant.

Dans le premier film Smile, nous étions plongés dans une histoire sombre où une entité maléfique se transmettait d’hôte en hôte, prenant la forme d’un sourire horrible et effrayant. Cette dernière s’infiltrait dans l’esprit de ses victimes, provoquant des hallucinations et les poussant progressivement vers la folie. Une fois complètement consumée de l’intérieur, la victime finissait par se donner la mort sous les yeux d’une autre personne, permettant ainsi à la malédiction de se propager à se nouvel hôte. Ce premier opus se focalisait sur une intrigue plutôt intime et familiale, où un psychologue en devenait la proie. Dans Smile 2, l’histoire prend une tournure plus intéressante, se déroulant seulement quelques jours après les événements initiaux. Cette fois-ci, la malédiction s’attaque à une figure bien plus publique : une pop star mondiale

Dans ce second chapitre, c’est Skye Riley, incarnée par Naomi Scott, qui se retrouve au cœur de l’intrigue. Personnage complexe et tourmenté, Skye tente de reconstruire sa carrière et sa santé après un accident lié à la drogue, qui a tragiquement coûté la vie à son petit ami, Paul, un acteur populaire. Mais alors qu’elle commence tout juste à se remettre, la malédiction la frappe, transmise par son dealer, Lewis, interprété par Lukas Gage. Pour la chanteuse, un véritable cauchemar commence. Comment faire face à cette horreur grandissante tout en essayant de convaincre son entourage qu’elle n’a pas rechuté dans la drogue ? Son combat est d’autant plus difficile qu’elle doit affronter le scepticisme de sa mère Elizabeth (jouée par Rosemarie DeWitt), qui fait également office de manageuse, et de son assistant loyal Joshua (Miles Gutierrez-Riley). Entre pression médiatique et suspicion, Skye devra trouver un moyen de leur prouver que la menace qui pèse sur elle est bien réelle, et non le fruit de ses anciens démons avant qu’il ne soit trop tard..

Smile 2 a su faire frissonner la salle du Grand Rex à Paris lors de son avant-première, captivant les spectateurs avec une atmosphère oppressante et terrifiante. Le film nous plonge immédiatement dans l’angoisse, nous attachant rapidement à Skye, personnage central incarné avec brio par l’actrice Naomi Scott. Son combat contre l’entité maléfique qui la hante est à la fois poignant et troublant, et l’on ressent, grâce aux images, la constante impression qu’elle est épiée, accentuant ainsi l’immersion. Au fur et à mesure que l’histoire avance, on observe Skye sombrer, et l’évolution de son état nous glace d’effroi. Pour rendre cette descente aux enfers encore plus réaliste, l’équipe créative a combiné effets visuels et physiques. Soucieuse du moindre détail, l’équipe a consulté des experts dans la médecine, notamment des dentistes et chirurgiens, afin de représenter avec une précision les effets physiques d’une mâchoire démesurément étirée, renforçant ainsi l’horreur palpable de ce second opus. Un succès incontestable, comme en témoignent les cris et les expressions de dégoût qui ont traversé la salle tout au long de la projection.

Pour rendre l’histoire plus crédible, l’équipe du film a dû concevoir une véritable icône de la pop en la personne de Skye Riley. S’inspirant de grandes stars telles que Sia, Rihanna et Lady Gaga, les créateurs ont travaillé sans relâche pour façonner, de toutes pièces, une mégastar. Cela passe par la création de merchandising, de chansons dignes des plus grands hits, et bien sûr, des tenues à couper le souffle. Que ce soit pour ses performances sur scène ou son apparition lors du gala, les costumes de Skye sont époustouflants, rappelant le style de célébrités comme Taylor Swift. Les chorégraphies, élément essentiel pour ancrer Skye dans le monde de la pop, ont été conçues par Célia Rowlson-Hall. Grâce à son coaching, Naomi Scott s’est véritablement métamorphosée en star internationale le temps du tournage. Pour compléter cette immersion, le premier clip vidéo de Skye Riley est déjà disponible, tandis que la bande originale, incroyablement bien orchestrée, peut être écoutée sur les plateformes de streaming. Une immersion totale dans l’univers d’une pop star certes fictive, mais plus vraie que nature.

Nous avons été particulièrement impressionnés par la manière dont les seconds rôles sont intégrés à l’intrigue de Smile 2. Qu’il s’agisse d’Elizabeth, la « momager » surprotectrice incarnée par Rosemarie DeWitt, ou de Joshua, l’assistant loyal de Skye, tous les personnages secondaires trouvent leur place et contribuent à l’évolution du film. Ils jouent un rôle essentiel en tant que barrière fragile entre la folie qui envahit Skye et la réalité qui l’entoure. Lukas Gage, terrifiant dans le rôle du dealer Lewis, ajoute une couche supplémentaire d’angoisse, tandis que Gemma, l’ancienne meilleure amie de Skye, interprétée avec justesse, apporte une illusion de stabilité et de réconfort dans le chaos, du moins en apparence.. Le retour de Joel, campé par Kyle Gallner, ancre solidement l’intrigue dans la continuité du premier film, offrant aux spectateurs un fil conducteur pour comprendre où on se trouve.

Le film Smile 2 n’est cependant pas exempté de quelques défauts. L’un des aspects frustrants réside dans le manque d’explications concernant l’entité maléfique qui sème la terreur. Nous n’apprenons rien sur son origine, ses motivations, ou encore la manière de l’arrêter, ce qui laisse un sentiment d’inachevé pour les spectateurs avides de réponses.

De plus, nous avons l’impression de repartir à zéro puisque Skye, contrairement aux personnages du premier opus, ignore tout de la « chaîne » de malédiction. Il faut donc attendre qu’elle découvre, petit à petit, les règles du jeu, notamment grâce à l’aide du personnage de Morris, ce qui ralentit légèrement l’intrigue. Cependant, ce qui pourrait être perçu comme un défaut devient également une force : cela permet de suivre en détail la montée de la folie et son impact insidieux sur Skye.

Smile 2 offre aux spectateurs des scènes terrifiantes qui marqueront durablement les esprits. Parmi celles-ci, la scène que nous surnommerons « 1, 2, 3 soleil » avec ses danseurs qui est particulièrement angoissante. Dans un couloir étroit, les danseurs se pressent les uns contre les autres, fixant Skye avec ce sourire effrayant, créant une tension insoutenable. Le film ne manque pas de « jumpscares » et se révèle bien plus gore que le premier opus. Dès les premières minutes, nous sommes plongés dans l’intrigue et happés par cette ambiance oppressante, nous offrant notre dose de frissons pour le mois. Naomi Scott, dans le rôle de Skye Riley, livre une performance exceptionnelle, rendant son personnage à la fois vulnérable et combatif.

En résumé, Smile 2 est une réussite. Le réalisateur Parker Finn avait promis plus de peur, plus de sang et plus de « jumpscares » que dans le premier film, et il a tenu parole. Le passage à une interdiction aux moins de 16 ans, alors que le premier film était interdit aux moins de 12 ans, souligne d’ailleurs cette intensification de l’horreur et du gore.

SMILE 2‘ EST DESORMAIS DISPONIBLE AU CINEMA !

https://youtu.be/GL7nOrqkfrw?si=7BTcz15CGXVs72V4

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