‘Empire of Light’ : du grand cinéma !
‘Empire of Light’, la nouvelle merveille du réalisateur de 1917 ou encore Skyfall : Sam Mendes. Au casting, on retrouve Olivia Colman (The Crown), Micheal Ward (The A List), Colin Firth (Mamma Mia !) ou encore Toby Jones (Captain America : First Avenger). Présenté en avant-première au festival du film de Telluride 2022, ce drame romantique nous dévoile un scénario époustouflant.
Avec ce nouveau film, Sam Mendes nous plonge dans un vieux cinéma des années 1980 en Angleterre. C’est là que nous faisons la connaissance d’Hillary (Olivia Colman), gérante du cinéma « Empire », de Donald Ellis (Colin Firth), directeur de la salle ou encore de Norman (Toby Jones), le projectionniste. Mais l’histoire de l’Empire ainsi que la vie d’Hillary vont être bouleversé par l’arrivée de Stephen (Micheal Ward), nouvel employé noir venu travailler dans ce cinéma en attendant de trouver une université qui l’acceptera.
Le cinéma comme pièce maîtresse !
À travers l’histoire du cinéma, ce film aborde différents aspects majeurs tels que la santé mentale et le racisme. En effet, nos deux personnages principaux Stephen et Hillary se retrouvent confrontés à ces deux problématiques. Hillary, cette femme subissant la vie, souffre de différents troubles mentaux. Quant à lui, Stephen se voit confronter à une Angleterre de Margaret Thatcher et sous l’emprise de nombreux mouvements racistes tels que les Skinheads. Chacun trouvera du réconfort dans cette relation naissante entre nos deux protagonistes.
La présence du cinéma est partout, que ce soit dans le film en général mais aussi dans des aspects plus métaphoriques puisque le cinéma sera un moyen de réconfort pour chaque personnage de ce film. Tel le pigeon blessé qui rôde à l’étage de l’Empire, ce cinéma sera un moyen de guérison pour les personnages de ce film.
En conclusion, ‘Empire of Light‘ nous emporte dans une histoire autant bouleversante que émouvante. En tout point, ce film est une expérience cinématographique décrivant le cinéma comme un lieu de plaisir mais également le cinéma comme un art que l’on ne peut négliger. C’est le genre de film où l’on se dit « ça c’est du cinéma ! ». Un paquet de mouchoirs sera probablement nécessaire au visionnage et on peut blâmer les acteurs pour ça ! En bref, après avoir vu la bande-annonce, plus d’excuses pour ne pas aller applaudir cette beauté visuelle !
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